29 août 2005
IL FAUT Y CROIRE
dans la solitude immense des espaces virtuels, les pulsars émettent des bips qui, à des milliers d'années-lumières de là, provoquent un battement d'aile de papillon. C'est beau, non? Cette beauté stellaire nous surprend à l'équinoxe de notre propre égo... Mais retour en catastrophe à la base terrestre, je dois aller dîner... je serais de retour bientôt, j'ai des choses à vous dire, mes chers pulsars lecteurs du fin fond de l'univers...
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