chooooo

Dans la pôele à frire espagnole, le Sahara se rapproche. On en crève et le mercure continue de monter. Je ne sais pas comment fait Alain pour se tenir à son jogging quotidien. Je crois qu'il est fou. Nous, les espagnols normaux, nous nous terrons à l'ombre, avec de brèves incursions dans l'eau soit très tôt soit très tard. Nous laissons la plage aux touristes, qui cette année ne sont pas si nombreux. Jean, une vieille connaissance retrouvée grâce à Alain, me demandait hier "tu connais beaucoup de plages méditerrannéenes  aussi peu encombrées que celle de Mitjorn. Oui, nous avons de la chance. Mais il fait vraiment trop chaud.