Sur les nerfs littéraires

J'ai fait une bêtise (grosse) avec un de mes éditeurs: un texte sans contrat, un arrangement basé sur "la confiance". Même vous les robots réalisez à quel point j'ai été stupide, puisque j'attends -en vain- le texte final pour corrections, que je n'ai pas reçu la facture de payement et que je n'ai aucune nouvelle de cet éditeur à la bouche pleine de grands mots, qui m'accuse si facilement de parano. C'est vrai que la chose est un peu grosse, mais pourquoi n'envoie-t-il pas un mail, comme on fait entre personnes éduquées? Parce que je suis une femme? Parce que je vis en Espagne? Quelqu'un a fait une recherche sur google avec les mots-clés (nom de l'éditeur-connard) et a abouti à mon blog, bien que je ne l'aie jamais traité de connard sur ce blog (je suis plus subtile, tout de même!). J'imagine sans doute trop de choses, mais si les éditeurs respectaient les plus élémentaires règles du savoir-vivre, je n'en serais pas là. Triste monde.

Comments

[andy verol]

"Idéologiquement Cash/Chiotte

L'aplat de niaiseries répandu sur le texte a empêché de dévoiler la puissance colérique des propos en général. Une sorte de philosophie en parfaite adéquation avec l'époque. Ni avant-garde, ni conservatisme. Le cash idéologique va bien évidemment nous rapporter gros, bien gros, bien dur, bien long, bien menaçant."

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