8 juillet 2010
une pente glissante et solitaire
Dehors, il fait 36º et dedans je suis seule. Si seulement l'ordure qui me tient lieu de mari pouvait ne pas revenir... Je pourrais alors sous-louer la maion... m'en sortir... Je n'y crois plus vraiment... Aujourd'hui justement les rares amis sont très occupés et même mon assitante sociale favorite ne me répond pas... que faire de, dans ce monde ingrat? Je capitule... Ça ne va pas me mener loin mais moins de nerfs. Je suis épuisée. Epuisée. Avec le sentiment que mon existence ne peut pas aller plus loin.
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